PATRIMOINE HISTORIQUE ET CULTUREL: UN RETOUR VERS LE PASSÉ

Patrimoine historique et culturel: un retour vers le passé

L´ermitage del Carmen

VIDÉO 3D
VUE A 360º

Construite entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe siècle, cette église était autrefois dédiée à Saint-Sébastien. Elle est actuellement dédiée à la Virgen del Carmen, patronne de la ville.

Description de l’édifice

Sur la façade principale, l’entrée est ornée de deux colonnes doriques. Au-dessus de celles-ci, se trouve une frise avec des triglyphes et des métopes, et un fronton avec une croix latine flanquée de deux pyramides de style Renaissance.

Toujours à l’extérieur, on peut admirer grille en fer forgé qui protégeait l’entrée de l’ermitage. Celle-ci avait été démolie en 1932.

Une autre des modifications extérieures que l’on peut observer est l’agrandissement de l’édifice avec l’ajout de pièces lors de la construction de l’ancien couvent, situé à gauche de la façade principale. C’est là que ce sont succédées diverses congrégations religieuses, comme le Tiers-Ordre franciscain, de 1882-1918 ;  la Doctrine Chrétienne, de 1928 à 1945 ; les Salésiennes, de 1945 à 1965 ; et les Dominicaines Rurales, de 1969 à 1995. À droite de la façade se trouve l’actuelle maison sacerdotale.

À l’intérieur, on peut remarquer la présence d’un retable de style néoclassique. On y retrouve, sur deux niches latérales flanquées de colonnes composées, un Sacré-Cœur de Jésus et un Cœur de Marie. Dans l’allée principale, on peut admirer la Virgen del Carmen dans sa loge et au-dessus, deux autres niches, dans lesquelles se trouvent Saint Jean de la Croix et Sainte Thérèse d’Avila. À mi-hauteur de la partie supérieure, se trouve un tableau de la Trinité entouré de deux piliers d’ordre composite ornés d’ailettes et de copeaux, le tout, surmonté d’un fronton.

Sur les côtés du chœur sont suspendues deux toiles du XVIIIe siècle, une scène miraculeuse franciscaine sur le côté gauche et l’apparition de la Trinité à Saint François sur le côté droit.

Dans la nef principale, se trouve une niche avec le Christ attaché à la colonne, d’Isidoro Sánchez, et une toile du XIXe siècle avec une scène miraculeuse de la reine et du lépreux. En face, il y a une autre toile du XIXe siècle présentant la résurrection de Lazare et un autre retable avec Notre-Dame de la Paix dans sa Solitude, du XVIIIe siècle, et le Christ du Múrtigas de León Ortega de 1951, offert par Juan Talero.

Construite entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe siècle, cette église était autrefois dédiée à Saint-Sébastien. Elle est actuellement dédiée à la Virgen del Carmen, patronne de la ville.

Description de l’édifice

Sur la façade principale, l’entrée est ornée de deux colonnes doriques. Au-dessus de celles-ci, se trouve une frise avec des triglyphes et des métopes, et un fronton avec une croix latine flanquée de deux pyramides de style Renaissance.

Toujours à l’extérieur, on peut admirer grille en fer forgé qui protégeait l’entrée de l’ermitage. Celle-ci avait été démolie en 1932.

Une autre des modifications extérieures que l’on peut observer est l’agrandissement de l’édifice avec l’ajout de pièces lors de la construction de l’ancien couvent, situé à gauche de la façade principale. C’est là que ce sont succédées diverses congrégations religieuses, comme le Tiers-Ordre franciscain, de 1882-1918 ;  la Doctrine Chrétienne, de 1928 à 1945 ; les Salésiennes, de 1945 à 1965 ; et les Dominicaines Rurales, de 1969 à 1995. À droite de la façade se trouve l’actuelle maison sacerdotale.

À l’intérieur, on peut remarquer la présence d’un retable de style néoclassique. On y retrouve, sur deux niches latérales flanquées de colonnes composées, un Sacré-Cœur de Jésus et un Cœur de Marie. Dans l’allée principale, on peut admirer la Virgen del Carmen dans sa loge et au-dessus, deux autres niches, dans lesquelles se trouvent Saint Jean de la Croix et Sainte Thérèse d’Avila. À mi-hauteur de la partie supérieure, se trouve un tableau de la Trinité entouré de deux piliers d’ordre composite ornés d’ailettes et de copeaux, le tout, surmonté d’un fronton.

Sur les côtés du chœur sont suspendues deux toiles du XVIIIe siècle, une scène miraculeuse franciscaine sur le côté gauche et l’apparition de la Trinité à Saint François sur le côté droit.

Dans la nef principale, se trouve une niche avec le Christ attaché à la colonne, d’Isidoro Sánchez, et une toile du XIXe siècle avec une scène miraculeuse de la reine et du lépreux. En face, il y a une autre toile du XIXe siècle présentant la résurrection de Lazare et un autre retable avec Notre-Dame de la Paix dans sa Solitude, du XVIIIe siècle, et le Christ du Múrtigas de León Ortega de 1951, offert par Juan Talero.

Indications